Au Japon en 2025, il serait juste invraisemblable de porter des gants qui ne permettent pas d'utiliser son téléphone portable. Ce sera bientôt le cas dans toute l'Europe.
C'est le point de départ, la raison d'être, de la marque japonaise EVOLG. Deux ans de recherche et développement pour mettre au point un gant aux finitions irréprochables et à la compatibilité tactile intégrée dès la conception. Un accessoire pensé avec la même exigence qu'un vêtement, une coupe qui suit la main, et une technologie qui ne perturbe en rien son confort. De 2008 à 2010. Déjà 15 ans que la marque EVOLG existe.
Puis c'est le début, la création d'une gamme de gants tactiles en maille exclusivement pour commencer : les gants sont directement tricotés avec des fils conducteurs au bout des doigts. Ils sont conçus pour accompagner les usages du quotidien : urbains, actifs, exigeants - pensés avec style, précision et discrétion. Les couleurs, les textures, les finitions sont choisies avec soin : pas pour suivre une tendance - EVOLG est une marque qui les anticipe plutôt - mais pour créer des pièces qui s'adaptent à tous les styles, parlent à tous les genres. Puis viendront les mélanges en laine et cuir, avec une technologie de pointe qui permet de conserver la même précision, et ce quelque soit la matière. Les gants sont fabriqués dans deux usines Japonaises, où la culture dominante est celle de l'efficacité d'un produits bien faits. L'une de ces usines est située sur une île au sud du Japon, la plus grande. L'autre au centre.
Le nom de la marque « EVOLG » vient de l’orthographe inversée de « GLOVE ».
Ma mission, en tant que distributeur français pour l’Europe, est de faire connaître un produit japonais authentique et technologique à la fois, et qui sera distribué dans les meilleures boutiques Européennes.
L'aventure Evolg en Europe, c'est avant tout la découverte d'une autre culture, une manière de penser différente, qui fait réfléchir et avancer. La rencontre avec Fumio, mon partenaire du bout du monde - à ma gauche - avec qui la communication fut difficile durant deux ans, s'est pas mal arrangée depuis que l'on a partagé sushis et saké dans son bistrot favori. Et chacun de nous apprend à vivre au rythme de l'autre. Chaque visio est un peu plus décontractée que la précédente. Et Toru - à ma droite - son partenaire, né à Hawaï, avec un anglais parfait et sa double culture, favorise beaucoup la compréhension mutuelle.